VERÓNICA AMAYA
Nació en Argentina,estudió en la Escuela De Bellas Artes de Córdoba.
Paralelamente siguió cursos y seminarios de especializacion en Historia del Arte y Pedagogía.En 2000 obtiene el título de Proferorado Superior en Bellas Artes.
En 2001 se traslada a vivir a la Costa Azul Francia,donde continua su formación.
Expone en Barcelona y viaja por diferentes países de Europa.
En 2011 se instala en Houston U.S donde continua actualmente su trabajo artístico.

« Mi pintura es una búsqueda constante en la historia de estructuras visuales, mitos, símbolos, significados culturales, pasiones,ritmos internos y tiempos de un mundo que abarca desde mi Argentina natal hasta otras fronteras. »


Le symbole et le mythe
« La nature, cet archétype de beauté, s’est bouleversée » – Ernesto Sabato.

Dans l’ensemble de ces travaux on retrouve le mélange dissocié des notions de nature et de culture. Des animaux métamorphosés, en situation de défense, d’agressivité ou de fuite, parfois indéfinis, évoquant des traditions très latino-américaines.Les personnages jouent dans une recherche, dans l’archaïque et le hiératique fondus dans espaces et plans. Une image dépouillée de visages, dépouillée de prudence et de tranquillité. « L’animal représente la psyché non humaine, l’infra-humain instinctif, ainsi que le cote psychique inconscient. » Jung.

Le symbolisme zoomorphique entre dans la structure plastique, avec un éclectisme qui reflète le métissage culturel.

L’interprétation de nos mythes nous permet de nous affirmer dans notre identité, et permet à une communauté de se reconnaitre.
Le cote primitif de l’animal indique la profondeur de l’inconscient, et la répétition des formes renforce le cote primitif du symbole.
L’animal est primordial dans l’art cosmogonique amérindien qui utilise un grand nombre d’animaux sacrés ayant des places essentielles pour ces communautés archaïques. La fonction de ces animaux déifiés est de tout expliquer: le temps de la plantation et de la récolte, les phénomènes écologiques, l’existence, le pouvoir, etc… Ils sont un lien entre l’homme et le cosmos.

La construction picturale incorpore des surfaces et des textures contrastées. L’espace géométrisé, joue un rôle aussi fondamental que les personnages. L’ensemble crée un climat de réflexion ou l’on sent la tension entre le passe et le présent.

Les couleurs et nuances des terres ocres et rouge se juxtaposent avec le noir le blanc, la texture et le collage pour finir dans une sorte de voyage personnel dans le passé et l’histoire.
La lecture de ces travaux nous conduit à une réflexion sur les concepts comme la nostalgie, l’appartenance, les déplacements, le déracinement et l’identité.


FIESTA EN CASABINDO
Pueblo que en agosto celebra el dia de la Virgen,su patrona,y las melodias de sikus,bombos y quenas acompanan « la corridas de toros »,una ofrenda religiosa ya que despues de la ceremonia,todos se reunen en la plaza del pueblo donde se transforma en « plaza de toros ».
Cuando sale el primer toro es enlazado a un poste y le colocan una vincha o lazo rojo,generalmente de lana de llama,y EL UNICO OBJETIVO EN EL TOREO,es arrebatar de las astas del animal la vincha o lazo para devolverlo a la patrona del pueblo.
El torero vencedor no recibe del jurado ni la cola o las orejas del animal,solo un hermoso poncho jujeno y el aplauso de los presentes.

Profil : www.comobiartistica-europe.fr / veronicamaya
ARTE SIN FRONTERAS!

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